"Depuis l’automatisation des contrôles instaurée en 2018, les PV se multiplient pour les titulaires d’une carte handicapés, pourtant exonérés de paiement, qui sont aussi confrontés à des faussaires.
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Jacques Gonzales, représentant du CAPFD parisien d'APF France handicap, estime que le problème de ces procès-verbaux estimés indus est « massif ». Il a lui-même été victime de cette situation : « Pour un PV du 4 avril 2018, après plusieurs recours, la commission a statué la semaine dernière (plus d'un an après) que j'avais raison, la mairie de Paris devait me rembourser le FPS à 35 euros. C'est presque comique… »
L'homme cite le cas d'une adhérente d'APF France handicap qui a eu pas moins de 12 amendes alors qu'elle stationnait avec son véhicule personnel, la carte bien en vue derrière son pare-brise ! Avec autant de forfaits majorés à 85 euros !"